j'avais commencer un ptite histoir d'esc a partir d'une foto ke j'avais assez bien géré doncg essayé de fair une suite pour voir si je pouvai fair ossi bien a vous de me le dire
voila le texte complet
A travers ce bracelet je trouve la force de le faire,
Car ce bracelet c’est toi qui me l’as offert et tu es ma force.
Quand je le porte j’ai l’impression que tu es avec moi.
Aujourd’hui j’assume et j’ai décidé d’avouer à mon entourage.
Je n’ai plus peur car je sais,
Que même si je suis rejeté par eux, tu seras là.
J’arrive habillé comme je l’ai toujours voulu,
Comme tu l’aimes, avec ma robe noire avec le haut moulant.
Je leur ai donné rendez vous dans le café familial.
Déjà je vois des haussements de sourcils sur ma tenue.
Une dernière inspiration sur ma cigarette.
Je touche une dernière fois ce bracelet fait d’anneaux noirs et de pierreries.
Je me lance.
J’approche et je sens la tension monter.
J’aimerais tellement être près de toi,
Ou nulle part ailleurs.
Tout plutôt qu’ici en ce moment même.
Mais je suis ici et il faut que je continue, que j’aille jusqu'au bout.
Je ne vais pas renoncer si près du but.
Pourtant ça aurait été bien plus simple de cacher la vérité.
Nous ne tenons pas à vivre avec le poids du mensonge,
Mais le regard des autres ne sera-t-il pas plus pesant et cruel ?
Toute la famille proche est là : mes parents, mon frère, mon grand père.
Je m’assois avec eux.
Tout d’abord les mots sortent difficilement.
Je garde ton image à l’esprit afin de ne pas perdre courage.
Plus je parle et plus ça sort facilement.
Ils m’écoutent en silence.
Je leur raconte tout : notre rencontre, mon amour pour toi…
Je les sens qui analysent, qui jugent.
Mais quelques soient leurs émotions, je n’en ai que faire car seules les tiennes comptent pour moi.
Voilà j’ai fini.
Un pesant silence s’abat sur nous.
La première personne à s’exprimer est ma mère,
qui m’assure que cela ne change rien à ce quelle ressent pour moi.
Mais elle est très vite coupé et rabroué par mon père et mon grand père,
qui se mettent à hurler que ce n’est pas possible,
que tout comme une maladie on pouvait me guérir.
Que si j’ai assez de volonté je dois changer.
Ils ne conçoivent pas que c’est mon choix, pour eux c’est un fléau qui m’est tombé dessus.
Assaillit par tant de ressentiment, d’incompréhension et de haine.
la tête pleine a craqué de ces cris de ces injures.
Je préfère quitter la table poursuivis par les paroles que mon esprit ressace sans arrêt.
Mes jambes ne pouvant plus me porter plus loin,
je me laisse glisser le long du mur dans le couloir qui mène à la porte d’entré tout en me demandant pourquoi avait-ils dit de telles choses.
Etait ce sous le coup de la surprise ou le pensaient-ils vraiment?
Perdu dans mes pensées amère je ne vois pas mon frère arrivé.
Il s’assoit à coté de moi et me parle d’une voie chaude et rassurante qui chasse mes idées noir et mes doutes.
Il me fit le plus beau cadeau qu’il puisse me faire.
Il me dit qu’il me soutenait dans mes choix et qu’il serait la pour moi si j’avais besoin de lui.
Maintenant je rentre te voir empli d’une nouvelle force et soulagé d’un poids,
car je sais que quelle que soit les obstacles à franchir je serai soutenu par certaines personnes
dont celle qui compte le plus pour moi...
voila et ptéte une suite encor ki c si g de l'imspiration
Commentaires
coucou
ton blog a l'air trop bien
passe voir le mien http://francoisde16.vefblog.net
Salut cousin
ben dis donc je ne savais pas que tu savais ecrire comme ca quel beau travail, les emotions pas bien, c'est super bien ecrit, encore un talent caché :p
t'es trop fort mon cousin
gros bisous